Agir : Les solutions aux problèmes d'érection | Options de traitement

Problèmes d’érection : nos conseils naturels

Les troubles de l’érection sont un sujet tabou qui affecte beaucoup d’hommes. Avant d’envisager des solutions médicales et selon le degré de dysfonction érectile que vous rencontrez, avez-vous pensé à examiner votre mode de vie et à adopter une routine naturelle et plus saine ? Les modifications du mode de vie peuvent jouer un rôle majeur dans la gestion de la dysfonction érectile, en particulier chez les patients plus jeunes. Découvrez 4 manières naturelles pour surmonter la dysfonction érectile.

Couple-living-better-change-lifestyle_banner

Problèmes d’érection : Le sport peut-il aider à améliorer la qualité de son érection ?

Faire de l’exercice est un excellent moyen de protéger votre santé et d’aider à rétablir votre fonction érectile.

L’avantage de l’activité physique est son effet sur le système cardiovasculaire : rester actif est une excellente manière de contrôler votre poids, votre pression sanguine et votre taux de cholestérol. Ainsi, votre cœur et vos artères, qui sont deux facteurs essentiels pour optimiser le débit sanguin vers le pénis, restent en bonne santé. L’activité physique signifie une meilleure oxygénation du sang ; les tissus des corps caverneux dans le pénis seront par conséquent mieux préservés et permettront une érection de qualité.

N’oubliez pas que même 30 minutes d’activité régulière suffisent à vous maintenir en forme. Vous pouvez compléter votre séance par des exercices de renforcement du plancher pelvien tels que les exercices de Kegel.

Quel est le mode de vie à adopter pour réduire le risque de dysfonction érectile

Comment traiter ses problèmes d’érection grâce à une meilleure alimentation ?

 

L’activité physique doit être associée à un régime sain et équilibré. Nous recommandons de privilégier des aliments riches en flavonoïdes, présents dans les baies, les pommes, les poires, les agrumes et même les radis !1

Quels conseils donneriez-vous aux hommes pour réduire le risque de dysfonction érectile

Tabac, alcool et leur impact sur l’érection

Renoncez à vos addictions diverses

En effet, le lien entre problèmes d’érection et le tabac est désormais bien établi. Ce produit, qui agit dans la sphère vasculaire et musculaire, réduit la circulation sanguine et empêche les corps caverneux du pénis de se remplir. L’érection, et dans certains cas le désir sexuel, peut s’en voir altérée. Arrêter de fumer aide à rétablir un fonctionnement normal et à éviter les maladies cardiovasculaires, mais ne suffit pas en soi à guérir les troubles de l’érection.

Sachez que la nicotine et le monoxyde de carbone sont deux substances très nocives pour votre capacité érectile, quelle que soit votre consommation.

Tout comme le tabac, l’alcool perturbe votre système circulatoire et votre système nerveux, et tend à réduire votre débit sanguin. Il dégrade par conséquent la qualité de l’érection.

Le stress est-il la cause de vos troubles de l’érection ?

Le stress est l’une des causes les plus fréquentes des troubles de l’érection. L’anxiété peut interrompre la communication entre le cerveau et le pénis, ce qui perturbe la circulation sanguine et par conséquent l’érection.

Voici quelques conseils pour garder un mode de vie sain et soulager le stress :

  • Prenez l’habitude d’éteindre tous les appareils électroniques (téléphone, ordinateur, etc.) au moins une heure avant le coucher : la lumière bleue empêche de s’endormir et les écrans n’aident pas à se reposer.
  • Passez plus de temps en extérieur. Si possible, rentrez du travail à pied, ou prenez le temps de vous promener.
  • Commencez des exercices de respiration ou un sport relaxant.
Quels sont les inconvénients de ces traitements Y a -t-il des contres-indications

 

Retrouvez nos conseils pour surmonter les troubles érectile dans notre article dédié à la Dysfonction Erectile Psychologique.

 

1: Dietary flavonoid intake and incidence of erectile dysfunction », The American Journal of Clinical Nutrition, volume 103, numéro 2, 1 février 2016, pages 534–54

Partager cet article